Cine / video
Brian De Palma : rétrospective intégrale
6 feb - 4 mar 2002
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A l'occasion de la sortie de son nouveau film en partie tourné en France, "Femme fatale", le Centre Pompidou organise une rétrospective intégrale (près de 30 films) consacrée à Brian De Palma, dont l'œuvre est trop souvent limitée à quelques films emblématiques. Cette initiative s'inscrit en écho à notre hommage à Hitchcock.
Que ce soit la scène de la douche dans "Psychose" (qui apparaît, telle une scène originelle, dans un grand nombre de ces films), l'utilisation des acteurs, le travail sur l'abstraction de la mise en scène et sa pure virtuosité, ou la peinture générale d'un monde en décomposition, l'œuvre de Brian De Palma a beaucoup puisé dans les recherches hitchcockiennes, mais aussi dans les travaux de Michael Powell, d'Orson Welles, de Jean-Luc Godard, des jeunes hommes en colère du Free Cinema anglais, tout en s'en affranchissant et en affirmant sa singularité, notamment à travers la récurrence des thèmes du double, du voyeurisme, ou du trauma familial.
Le Centre Pompidou se propose donc de plonger, en sa présence, au cœur de ses films, protéiformes et complexes, de ses travaux d'étudiant à ses films les plus expérimentaux. Cet hommage sera ponctué par des présentations des films par Brian De Palma lui-même, et par quelques spécialistes de son œuvre.
A l’occasion de la sortie de son nouveau film en partie tourné en France, “
Femme fatale ”, le Centre Pompidou organise une rétrospective intégrale (près
de 30 films) consacrée à Brian De Palma, dont l’œuvre est trop souvent limitée
à quelques films emblématiques. Cette initiative s’inscrit en écho à notre
hommage à Hitchcock.
Que ce soit la scène de la douche dans “ Psychose ” (qui apparaît, telle une
scène originelle, dans un grand nombre de ces films), l’utilisation des
acteurs, le travail sur l’abstraction de la mise en scène et sa pure
virtuosité, ou la peinture générale d’un monde en décomposition, l’œuvre de
Brian De Palma a beaucoup puisé dans les recherches hitchcockiennes, mais aussi
dans les travaux de Michael Powell, d’Orson Welles, de Jean-Luc Godard, des
jeunes hommes en colère du Free Cinema anglais, tout en s’en affranchissant et
en affirmant sa singularité, notamment à travers la récurrence des thèmes du
double, du voyeurisme, ou du trauma familial.
Le Centre Pompidou se propose donc de plonger, en sa présence, au cœur de ses
films, protéiformes et complexes, de ses travaux d’étudiant à ses films les
plus expérimentaux.
Cet hommage sera ponctué par des présentations des films par Brian De Palma
lui-même, et par quelques spécialistes de son œuvre.
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