Exposición
Bhupen Khakar, Sudhir Patwardhan, Arpita Singh
5 mar - 11 may 1986

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Après Gulam Mohammed Sheikh et Viswanadhan, trois autres artistes - Bhupen Khakhar, Sudhir Patwardhan et Arpita Singh - exposeront au Centre Georges Pompidou dans le cadre de l'année de l'Inde.
Après Gulam Mohammed Sheikh et Viswanadhan, trois autres artistes - Bhupen Khakhar, Sudhir Patwardhan et Arpita Singh - exposeront au Centre Georges Pompidou dans le cadre de l'année de l'Inde.
Tous trois se rattachent à ce courant de l'art actuel, qualifié de "Narrative Painting" par certains critiques indiens, parce qu'ils ont en commun de rechercher un sens à la figuration et au récit, synthèse qui fait partie de l'essence de la culture indienne.
Bhupen Khakhar
Les 14 peintures exposées ici couvrent la période 1972 à 1985.
Peintre autodidacte, il continue d’exercer son métier d’expert-comptable.
Il puise son inspiration dans cette vie proliférante et colorée qu’est le spectacle quotidien de la rue où il aime à déambuler, sans jamais tomber dans l’exotisme ou le pittoresque. Il pose un regard légèrement distant, mélancolique et amusé (qui peut parfois rappeler David Hockney) sur le barbier, le réparateur de montres, le tailleur, le yogi…
Sudhir Patwardhan
Les 6 peintures exposées couvrent la période 1979 à 1985.
Peintre autodidacte lui aussi, il exerce le métier de radiologue.
Comme il le dit lui-même dans plusieurs textes, il ne trouve la justification de son activité de peintre que dans une vie consciemment engagée, sans pour autant, dans sa peinture, se contenter d’un réalisme superficiel ou anecdotique. Ses compositions savantes et harmonieuses, aux couleurs claires, tentent de préserver l’universalité intemporelle du sujet peint.
Arpita Singh
10 peintures à l’huile et une vingtaine d’aquarelles sont exposées.
Elle a fait ses études à l’Ecole des Beaux-Arts de Delhi, où elle vit actuellement.
La série des encres abstraites, réalisées dans les années 80 et dont quelques beaux exemples sont exposés ici, peuvent nous rappeler d’une part, son travail de styliste dans les industries textiles ; d’autre part, une parenté avec Henri Michaux, dont elle n’a pourtant jamais vu les œuvres. Depuis 2 ou 3 ans, son travail évolue vers une représentation plus proche du réel, moins austère, où le quotidien est associé à la plus grande fantaisie.
Dónde
Galeries contemporaines
Quando
5 mar - 11 may 1986