Encuentro
D'encre et d'exil : l'Argentine
Cinquièmes rencontres internationales des écritures de l'exil
2 - 4 dic 2005

El evento ha terminado
Silvia Baron Supervielle, Arnaldo Calveyra, Alicia Dujovne-Ortiz, José Munoz et Carlos Sampayo, Edgardo Cozarinsky, Eduardo Berti, Tununa Mercado, Miguel-Angel Estrella, ou Santiago Amigorena...
La liste est longue et généreuse de ces artistes et écrivains, riches de bien des talents. Tous ont en commun d'être argentin et d'avoir partagé des instants d'exil à Paris. Quelques-uns y sont demeurés, d'autres ont adopté la nationalité française, parfois la langue, certains y sont morts, beaucoup y vivent encore. Accompagnés de quelques compagnons, ils ont accepté l'invitation de ce rendez-vous afin de témoigner de ces allers-retours fraternels et complices entre Buenos Aires et Paris.
Toutes ces parcelles de l'Argentine à Paris mêleront leurs itinéraires, leurs encres et leurs exils et nous conduiront dans le labyrinthe dans l'ombre de Borges, dans les interstices de la création, dans l'entrebâillement du "pays de l'écriture", dans la déchirure parfois féconde de l'absence et de l'éloignement. Il sera question de la fuite des dictatures et des oppressions, de blessures plus intimes, des traces souvent douloureuses d'un exil contraint et blessé, mais aussi de l'extraordinaire sursaut vital et joyeusement fécond de leurs écrits.
Pour un "moment tango" ou pour une "mémoire argentine", dans la connivence et la quête des mots et de la langue, il s'agira de remonter à la source de leurs origines multiples, de mesurer l'exemplarité de leurs combats et de leurs "armes secrètes", de partager leur humour et leurs rires, d'emprunter "la ligne et l'ombre" de la poésie ou "le fleuve sans rives" du roman, d'approcher "cette frontière extrême du langage où la parole est la demeure de l'être" comme le dit Hector Bianciotti.
Ainsi, pendant trois jours, d'entendre Paris à l'heure de Buenos Aires. A moins que ce ne soit l'inverse !
Bernard Magnier
Silvia Baron Supervielle, Arnaldo Calveyra, Alicia Dujovne-Ortiz, José Munoz et
Carlos Sampayo, Edgardo Cozarinsky, Eduardo Berti, Tununa Mercado, Miguel-Angel
Estrella, ou Santiago Amigorena...
La liste est longue et généreuse de ces artistes et écrivains, riches de bien
des talents. Tous ont en commun d’être argentin et d’avoir partagé des instants
d’exil à Paris. Quelques-uns y sont demeurés, d’autres ont adopté la
nationalité française, parfois la langue, certains y sont morts, beaucoup y
vivent encore. Accompagnés de quelques compagnons, ils ont accepté l’invitation
de ce rendez-vous afin de témoigner de ces allers-retours fraternels et
complices entre Buenos Aires et Paris.
Toutes ces parcelles de l’Argentine à Paris mêleront leurs itinéraires, leurs
encres et leurs exils et nous conduiront dans le labyrinthe dans l’ombre de
Borges, dans les interstices de la création,
dans l’entrebâillement du “pays de l’écriture”, dans la déchirure parfois
féconde de l’absence et de l’éloignement. Il sera question de la fuite des
dictatures et des oppressions, de blessures plus intimes,
des traces souvent douloureuses d’un exil contraint et blessé, mais aussi de
l’extraordinaire sursaut vital et joyeusement fécond de leurs écrits.
Pour un “moment tango” ou pour une “mémoire argentine”, dans la connivence et
la quête des mots et de la langue, il s’agira de remonter à la source de leurs
origines multiples, de mesurer l’exemplarité de
leurs combats et de leurs “armes secrètes”, de partager leur humour et leurs
rires, d’emprunter “la ligne et l’ombre” de la poésie ou “le fleuve sans rives”
du roman, d’approcher “cette frontière extrême du langage où la parole est la
demeure de l’être” comme le dit Hector Bianciotti.
Ainsi, pendant trois jours, d’entendre Paris à l’heure de Buenos Aires. A moins
que ce ne soit l’inverse !
Bernard Magnier
Contact :
Bpi - Service de l'animation
Emmanuèle Payen 01.44.78.49.02.
Hina Taparé 01.44.78.44.16.
Service de presse
Bibliothèque publique d'information
Colette Timsit - 01 44 78 45 41
Dónde
Petite salle
Quando
2 - 4 dic 2005