L'exposition universelle

Programme : 

■ 15h-18h : Fun Beaubourg
Séance du Laboratoire d’histoire permanente du Centre Pompidou 

Avec : François Chatillon, architecte des monuments historiques en charge de la rénovation du Grand Palais, Antoine de Baecque, historien et initiateur du Laboratoire d’histoire permanente, Nicolas Moreau et Hiroko Kusunoki, lauréats du concours pour le réaménagement du Centre Pompidou 2030, Nikola Jankovic, éditeur et fondateur de la maison d’édition B2, Théo Pagnon, architecte, Margaux Fournier, réalisatrice, Iris Mommeransy, membre du groupe Arts vivants du Laboratoire d'histoire permanente, Tom Lalloum, étudiant-chercheur au sein du Laboratoire d'histoire permanente, Boris Hamzeian, chercheur et architecte, auteur de Centre Pompidou, le défi du total design (éd. Les Presses universitaires de Saint-Étienne – PUSE, avec les éditions du Centre Pompidou, 2024)

■ 19h : Rush(es), création présentée en avant-première

Performance d’Alexandra Bachzetsis

Dans sa nouvelle performance solo Rush(es), Alexandra Bachzetsis situe le moi dans l'autofiction, l'autoérotisme et l'auto-documentation, et explore la nature marchande du désir, qui est à la fois construit et déconstruit par le corps dansant. 

Rush(es) se caractérise par des transformations rapides qui poussent le corps à ses limites, reflétant le plaisir, la joie, la solitude, l'anxiété à travers l'intense physicalité de l'interprète. Dans cette performance solo, le public est invité à percevoir, examiner et vivre ces transformations physiques comme un reflet de la conscience collective. Rush(es) vise donc à susciter des réponses intuitives et immédiates à la musique, à l'espace, au texte et aux actions du corps, entraînant l'interprète et le public dans un état d'éveil et de transformation.

Alexandra Bachzetsis est une chorégraphe et une artiste visuelle installée à Zurich. Sa pratique se déploie à l'intersection de la danse, de la performance, des arts visuels et du théâtre, générant une intersection des espaces dans lesquels le corps, en tant qu'appareil artistique et critique, peut se manifester.