Alexandra Bachzetsis

Comment simplifier une structure complexe – musicale, chorégraphique ou artistique – sans la compromettre ? C’est l’interrogation qui inspire à Alexandra Bachzetsis une nouvelle création pour trois danseuses et deux pianos. Son titre est une métaphore de la réduction à l’essentiel. L’artiste identifie ce rituel de sacrifice dans de nombreuses expressions culturelles et les transforme en sources visuelles et chorégraphiques : de la musique northern soul à la danse techno, de la sape congolaise aux traditions du peuple yoruba. Bachzetsis déconstruit et reconstruit un vocabulaire chorégraphique qui offre une réponse esthétique à la problématique de l’excès.

Alexandra Bachzetsis est une artiste basée en Suisse et en Grèce. Ses recherches chorégraphiques portent notamment sur les notions de collaboration et du sacrifice dans la culture actuelle. Proche du milieu des arts plastiques, elle crée souvent des chorégraphies pour des espaces muséaux et a déjà présenté son travail à la Documenta de Kassel, au MoMA de New York et à la Tate de Londres.

Concept et chorégraphie : Alexandra Bachzetsis
Interprétation : Simon Bucher, Mischa Cheung, Yumiko Funaya, Lenio Kaklea, Alma Toaspern
Collaboration mouvement : Nuno Bizarro
Musique et composition : Tobias Koch
Collaboration vidéo : Glen Vogel
Performance vidéo : Alexandra Rogovska, Dimitra Vlachou
Collaboratrice scénographie vidéo et peinture : Margarita Bofiliou
Assistante scénographie vidéo et peinture : Sofia Simaki
Costumes : Cosima Gadient
Conception lumière et technique : Patrik Rimann
Design communication : Julia Born

Production : Association All Exclusive
Chargée de production : Clara Becker
Assistant production : Sotiris Vasiliou
Avec le soutien de : Kooperative Fördervereinbarung entre Stadt Zürich, Fachausschuss Tanz und Theater BS/BL, Pro Helvetia-Schweizer Kulturstiftung, GGG Basel, Jubiläumsstiftung Basellandschaftliche Kantonalbank
Une commande de : The Museum of Modern Art, New York
Coproduction : Kaserne Basel et Theaterhaus Gessnerallee, Zürich
Remerciements : Andreas Melas et Stuart Comer